Ce numéro de Rue de la Banque montre le fort impact cyclique de la démographie sur l’investissement dans l’immobilier résidentiel. L’opinion courante est que la croissance démographique affecte le stock de logements à long terme. Toutefois le taux de croissance de la population âgée de 20 à 49 ans influence la demande ...
Le Fonds monétaire international a dévoilé le 18 avril ses Perspectives de l’économie mondiale d’avril 2017. Selon ces prévisions « … la croissance mondiale devrait passer de 3,1 % en 2016 à 3,5 % en 2017 et à 3,6 % en 2018, soit légèrement au-dessus des prévisions de l’édition d’octobre 2016 des Perspectives de l’économie mondiale (PEM) »...
La 21e édition de la Revue de la stabilité financière (RSF) de la Banque de France analyse l’impact des réformes financières, huit ans après l’adoption du plan d’action du G20 en 2009. Alors que la plupart des chantiers de ce plan sont en voie de finalisation, les effets potentiellement négatifs des nouvelles réglementations suscitent des inquiétudes, certains allant jusqu’à remettre en cause la nécessité même d’une régulation solide au niveau mondial pour préserver la stabilité financière.
À l’issue de la réunion du 27 avril 2017 du Conseil des gouverneurs de la Banque Centrale Européenne, Mario Draghi a déclaré : "Au terme de notre examen régulier de la situation économique et monétaire, nous avons décidé de laisser les taux d’intérêt directeurs de la BCE inchangés. [...] En ce qui concerne les mesures non conventionnelles de politique monétaire, nous confirmons que nos achats nets d’actifs, au nouveau rythme mensuel de 60 milliards d’euros, devraient être réalisés jusque fin décembre 2017, ou au-delà si nécessaire, et, en tout cas, jusqu’à ce que le Conseil des gouverneurs observe un ajustement durable de l’évolution de l’inflation conforme à son objectif. Les achats nets s’effectueront en parallèle avec des réinvestissements des remboursements au titre du principal des titres arrivant à échéance acquis dans le cadre du programme d’achats d’actifs. [...] Une orientation très accommodante de la politique monétaire reste indispensable pour aviver les pressions inflationnistes sous-jacentes et soutenir l’inflation globale à moyen terme. Si les perspectives deviennent moins favorables, ou si les conditions financières ne permettent plus de nouvelles avancées vers un ajustement durable de l’évolution de l’inflation, nous sommes prêts à accroître le volume et/ou à allonger la durée de notre programme d’achats d’actifs. [...]"